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11 février 2010 4 11 /02 /février /2010 23:48

 


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11 février 2010 4 11 /02 /février /2010 20:27
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11 février 2010 4 11 /02 /février /2010 14:34

 

http://t2.gstatic.com/images?q=tbn:YzCqY_Obk-uoIM:http://dafina.net/forums/file.php%3F49,file%3D23201,filename%3DHocine_slaoui.jpgHoucine Slaoui fut l'un des premiers chanteurs marocains. Pourtant, il n'a jamais obtenu le statut d'artiste du peuple.

 

La naissance présumée de Houcine Slaoui pourrait se situer vers 1918. Lui qui mourut si jeune, a néanmoins légué à la postérité des chefs-d'œuvre d'authentiques créations pleines de fraîcheur et d'humour, une sorte de satire sociale de bonne teneur.

L'itinéraire de cet artiste hors pair, était marqué par une série de ruptures et de mutations; au début, Houcine Slaoui reproduisait, comme les jeunes de sa génération, les chansons en vogue qu'ils avaient l'habitude d'écouter dans les places publiques, et qu'ils avaient capté des disques "tournés" avec les rares électrophones disponibles chez les grandes maisons; il y avait aussi, et probablement, les chansons des films égyptiens qui alimentaient les salles marocaines depuis les années 1930; plus tard, on comprendrait donc mieux comment s'est constitué l'univers mélodique et compositionnel de Slaoui.

Après la Seconde Guerre mondiale, il se lia d'amitié avec un Français, un pianiste de Casablanca, qui décida de l'aider à enregistrer à Paris; il passa alors d'un artiste des places publiques à un meilleur statut après avoir été accepté par la firme "Pathé Marconi" qui allait lui enregistrer près d'une trentaine de chansons et sketchs.

Grâce aux enregistrements, Houcine Slaoui est devenu célèbre sur tout le Maghreb, contrairement à beaucoup de ses contemporains dont on ne connaît aujourd'hui que le nom; c'est le cas de Boujem'a al Farrouj que certains jugent plus important que Slaoui, mais dont on ne possède malheureusement pas de témoignage sonore.

Houcine Slaoui avait adopté un style éclectique dans son traitement des gammes, rythmes et styles marocains; il cherchait comme tout "hlayqi" (chanteur ambulant de la halqa) à satisfaire tous les goûts et choisissait de chanter "à la manière de..." en intégrant tous les genres régionaux dans un moulage tout personnel.

Il utilisa, de ce fait, un nombre important de gammes et de rythmes marocains mais également des modes de la chanson arabe d'Orient, qu'il stylisait et conditionnait par le rythme et le parler marocain.

Dans ce sens, la chanson de Houcine Slaoui peut être considérée comme une phase médiane entre la chanson populaire folklorique "ahâzîj" et le style élaboré de la chanson dite "moderne".

Le lien que Slaoui entretenait avec une thématique populaire imposait des limites à sa mélodie et à ses choix en matière de composition; pourtant il conférait à celle-ci une touche de vivacité et de vigueur; sa chanson qui était souvent musicalement monothématique procédait par des répétitions dont ne se lassaient pas les auditeurs à cause de la variété des tons que devaient comporter le texte poétique et sa prosodie.

Slaoui était surtout le témoin d'une époque mouvementée et d'une génération qui avait connu les affres de la Seconde Guerre mondiale ainsi que ses retombées sur les colonies françaises: mobilisation des forces vives pour les fronts européens, disette et rationnement dans tout le territoire chérifien, bouleversement des habitudes et changement de mœurs consécutifs au contact brutal avec les populations occidentales; on n'avait, pour comprendre cela, qu'à écouter les deux célèbres "Hdi Rassek" (faites attention) et "Al Mirikan" (les Américains).

L'Histoire réservait pourtant une fin tragique à l'artiste; on ne sait pas de quoi il était mort, mais il avait en tout cas souffert d'un mal terrible; ce qui avait alimenté à son sujet une légende de martyr qui pouvait nous rappeler celui des authentiques artistes romantiques du XIXème siècle. Etait-il vraiment empoisonné pour une raison mystérieuse, aurait-il été l'objet d'une intrigue de femmes, ou était-il victime d'une overdose ? ?trange destin.

Mais ne mérite-t-il pas encore le titre réhabilitant d'artiste du peuple?

Discographie

* Aîta Bedaouia

* Hdi Rassak

* AYa Amina

* almaricane

* El Kahla

* halkasse ahlou

* mahla anzaha

* Dak Babaq

* Smra

* SanYa Oul Bir

* Tanja

* alalla yellali

* Samra ou khammouria

* Smr

* Alia

* Hahoua Tani

* Errada Errada

* Mouja Ghani

* Ya Ghrib Lik Allah

* El Haïlat

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10 février 2010 3 10 /02 /février /2010 22:13

http://t0.gstatic.com/images?q=tbn:li5QCcqEqken5M:http://www.chaymzee.com/_i/797/m840-jedouane-hana-jit-hana-jit-r-1237125114.jpghttp://t3.gstatic.com/images?q=tbn:N6Z3CP3P-tVGtM:http://yassine06.vip-blog.com/medias/0206/910325bb.jpg 

JedwaneEl Mokhtar Jedouane né à Rabat,

 


mieux connu sous le nom de Jedwane est un chanteur-compositeur marocain de chaâbi moderne. Il est connu pour avoir personnalisé et modernisé le genre musical.

 

Les débuts de sa vocation de chanteur remonte aux années 1980 après avoir été touché par le style musical de chanteurs et musiciens tels que Nass El Ghiwane, Jil Jilala et aussi de Lemchaheb.

Vers la fin de 1983, Jedwane créa son propre orchestre et se produisit surtout dans les fêtes privées ou publiques de sa ville natale.

En 1987, il signe son premier album "Ana lamsikina" inspiré d’une chanson traditionnelle arabe qui lui vaut une popularité.

Jedwane mène alors depuis, une carrière sur le plan international et se représente régulièrement pour des tournées en France, en Belgique, aux Pays-Bas, au Canada, en Allemagne, au Danemark, en Italie et en Espagne.

 

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10 février 2010 3 10 /02 /février /2010 22:12

 


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10 février 2010 3 10 /02 /février /2010 22:12

 


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10 février 2010 3 10 /02 /février /2010 21:48

Najat Aatabou est une célèbre


star berbère marocaine de la chanson Chaâbi. Souvent dans ses chansons, la jeune artiste Najat Aatabou s'inspire des divers lettres qu'elle reçoit en exclusivité des fans féminins, lui racontant leur problèmes: L'argent, la prostitution, le chômage, le mariage, des maris infidèles, des mensonges... et bien d'autres encore et Najat Aatabou cite " Et quels sont les douleurs des femmes marocaines ? "Comme partout, des blessures d'amour,des maris infidèles, des foyers parallèles, des mensonges réguliers".

 

 

Les chansons de Najat Aatabou représente un univers complet de problèmes des jeunes femmes du Maroc parmi elles: Femmes jalouses, trompées, mais toutefois ce sont des femmes jamais soumises. Aussi, Najat Aatabou se battant, s'en prend aux maîtresses des maris allant jusqu'à faire un disque sur ceci "Choufi Ghirou" (c'est-à-dire "Cherches en une autre").

 

Au retour de l'Olympia, Najat Aatabou reviens sur le chemin qui l'a dirigée de sa ville qui porte le nom de Khemisset au Moyen Atlas. En l'année 1981, Najat Aatabou chante pour la première fois, la chanson qui porte le nom de " J'en ai marre" s'inspirant d'une histoire concrète et qui est : une des amies de Najat Aatabou voyagea et à son retour de son voyage, son fiancé était déjà décédé.

 

 

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